Tout perdu | Libre |

Delwin pénétra dans l'ancienne cité, autrefois resplendissante qui n'était désormais plus que débrit et ruine. Il se souvenait du marché le dimanche, qu'il passait à faire du charme aux jeunes demoiselles sous le regard méfiant de son père. Les joie de ses années d'enfance avec son frère et sa soeur, avant que son père ne le prenne en charge et ne l'éduque à sa manière. Le premier baiser qu'il avait échangée lors d'une fête en l'honneur du roi défunt. Tous ces souvenirs joyeux à jamais détruits et enterrés parmis ses ruines. Il poussa un bref soupir, retenant les larmes. Il avait tout perdu dans cette catastrophe, sa maison immense dans les quartiers riches, toute ses richesse, son père, sa mère, son frère... Il s'enfonça plus profondement dans les ruines et arriva dans un quartier où les briques qui autrefois formaient les maisons, bien que recouvertes de terre et d'herbe qui commençait à l'enfouir, était d'un blanc pûr et étincelant. Il reconnu l'endroit et s'assis sur une brique qui autrefois formait sa maison.

Tout perdu... - Post 1
[x. Rien à dire .x]
Three Hundred Words

Statut : Prophète

Je l'ai vu. Je l'ai vu sortir de la maison et partir vers le sud. Ce n'est pas vraiment le moment d'aller à la plage. La pluie ne devrait pas tarder à tomber. Je l'ai vu, et j'ai vu son regard. Inexpressif, vide, exactement comme le mien lorsqu'il m'arrive de penser à avant. Je me maudis, dans ces moments là, et à chaque fois je me promets que c'est la dernière. Je sais parfaitement qu'il faut que j'arrête de penser à eux si je veux avancer. Mais lui ne semble pas de cet avis. J'ai l'impression qu'il aime se remémorer à quel point il était heureux, avant, à quel point ce jour à été dévastateur...
J'hésite un instant, puis le suis. J'arrive à la plage. Sans même y penser, mes pieds retrouvent le chemin de ce qui dut à une époque, ma demeure, et qui aujourd'hui ne doit être plus d'un tas de cendres, que le vent à mélangé au sable. Et je le vois. Il reste une portion de mur de la battisse. C'est tout. Il est assis dessus, et regarde ses mains. C'est tout. J'attends quelques minutes. Je n'aime pas être là. Quand j'y repense, que n'aimais pas la vie que j'avais avant. Promise à l'âge de 23 ans à épouser un riche imbécile. Mais il y avait Gamëo, et Valya...
Je m'approche un peu plus, et ne dis rien. Je reste là, à le regarder. Mes mains tremblent légèrement, à la fois engourdies par le froid et agitées par mon coeur battant la chamade. Je me reprends. Tu ne devrais pas être là, dis-je d'une voie forte. Puis je m'avance, et lui fais face, essayant de me montrer le plus assurée possible, la plus forte possible, alors, qu'au fond, je revis le cauchemar toutes les nuits.

Delwin souffla légerement sur ses mains pour les rechauffer car il ne fesait pas très chaud. Il regardait avec tristesse les briques blanches et reluisante, les morceaux de bois, la vaiselles cassé. Il réussi à ne pas verser des larmes, qu'il n'avait jamais réussi à faire couler, se qui li fesait encore plus mal. Il avait perdu toute sa famille et ses biens. Enfin, pas toute...

Le garçon entendit une voix forte et autoritaire résonnait près de lui, il devina à l'instant de qui venait cette voix, sa ne pouvait être que sa soeur : Melëa. Il poussa un léger soupire, à l'entente de cette voix et à la vue de se corp. Dewlin ne détestait pas sa soeur, car c'était sa soeur mais n'éprouver rien de spécial envers elle. Après tout, c'était une femme et rien d'autre, c'était ce que lui avait dit son père en tout cas et il respectait ses paroles. C'était pour lui, faire hommage à son père défunt.
Delwin se leva, fusillant de regard sa soeur ainée, qu'il dépasait pourtant bien.
"Mêle toi de se qui te regarde!"

Tout perdu... - Post 2
[x. Naturellement, tu auras compris que je crois tout savoir sur toi ^^ .x]
Three Hundred and Ninety Two Words

Statut : Prophète

Mêle toi de ce qui te regarde ! Ses paroles arrivent sur moi et me frappent en plein coeur. Visiblement, il ne comprend pas que je fais ça pour lui. Il a l'air de croire que j'aime passer mon temps à le surveiller, à être toujours là pour épier ses moindres actes, ses moindres faits et gestes. Il a l'impression que m'occuper de lui en le surprotégeant comme une mère poule me donne une raison de vivre, me fait exister en m'imaginant utile. Comme il se trompe. J'ai réfléchit à tout ça. J'ai eu le temps, il faut dire... J'ai réfléchi a son comportement, j'en ai cherché les causes. Je me dis qu'il ne s'est pas encore remis de la mort de Faeron, comme moi pour mon frère aîné. Del' est ma raison de vivre, oui. Mais uniquement parce qu'il est tout ce qu'il me reste.
J'aime imaginer que nous puissions être de nouveau comme nous l'étions il y a dix ans, soudés, unis, inséparables, regardant devant nous et ne nous rappelant le passé qu'en honneur à la mémoire de la famille. Si seulement il faisait un effort. Je sais qu'il ne m'aime pas, je sais qu'il n'a pas plus de considération pour moi que pour le tapis de la porte d'entrée, je sais qu'il a gardé ses idées machistes que mon père lui a inculqué. Mais j'ai l'impression que je peux le faire évoluer, qu'il peut oublier ses idéaux et s'adapter à la nouvelle civilisation. Seulement il reste fixé sur le passé, et pense qu'à ça, ne cherche que la mémoire de son père.
Je fixe son regard, sans ciller, je lui fais face. Il faut qu'il comprenne, il faut qu'il se mette en tête que j'ai le droit à plus de crédit que ce qu'il daigne me donner. Qu'est-ce que tu espères trouver au juste, en venant là ? Je n'attends pas vraiment de réponse. Je sais qu'il n'y en à pas de crédible. Il n'y a rien ici. Ça sent à mort à milles lieux à la ronde, cet endroit n'est bon qu'à faire souffrir les vivants d'un passé dévastateur qui ferait mieux d'être oublié, enfermé sous clé dans un coffre caché de tous. On ne trouve ici que cendres et pourriture, que débris et souvenirs malfamés. Et lui qui continue de me regarder, me foudroyant de ses yeux clairs.

Delwin semblait agacer, non il ne semblait pas agaçer il était agaçer. Il semblait que sa soeur trouve un malin plaisir à le surveillé 24/24h. Il n'avait plus 8 ans, cette époque avait disparue engloutit par le temps douloureux et traitre, personne ne pourait revenir à cette époque, personne ne pourait jamais revenir sur ses actions, c'était scellé à jamais et personne ne réussirait jamais à réouvrire le coffre. Si Elwin avait sur se que son futut lui aporterait, il aurait profiter un maimum de son père, qui pourtant lui avait foutu ses idées qu'il trouvait au fond de lui ridicul mais ne voulait pas se l'avouer, ne voulant pas faire dispraitre la seul chose qui lui restait de son père, bien que cette chose la l'empechait de dormir car c'est à cause de sa, qu'il traitait sa mère comme un paillaisson, qui ne servait qu'à faire le ménage et la cuisine, qui avait était soumis sans doute trop jeune à son père, qu'elle avait du aprendre à aimé! Sans penssé à son frère, tout deux se détestait presque mutuellement à cause de leurs opinions, à croire que le lavage de cerveau n'avait pas marcher sur son frère et que son père c'était rattraper sur Delwin! Le garçn était presque venu au stade de se haïre. Il ne se comprenait plus, ses idées étaient parallèle, il n'en pouvait plus.

Delwin regardait sa soeur de toute sa hauteur, son regard froid dans sa direction, il lui répondit avec de la pur méchanceté:
"Pas toi en tout cas"

Tout perdu... - Post 3
[x. Désolée du retard... Peu d'inspi, en moment... ^^ .x]
Three Hundred and Twenty Seven Words

Statut : Prophète

Pas toi, en tous cas ! Nouveau coup de poing dans le coeur. Ca fait ma, les répliques du genre. Surtout venant de son frère. Cette fois, je dois me mordre la lèvre inférieure pour ne pas pleurer. J'ai toujours été comme ça, trop sensible, trop attentive aux autres, trop protectrice, trop famille. J'ouvre la bouche pour répliquer, et la referme. Je ne me sens pas la force de dire quoi que ce soit. Alors je m'avance, dans les ruines de mon anciène demeure. Je retrouve des débris de chaises, des restes de livres. Je tombe sur une toile. Le la prends dans mes mains, et scrute attentivement ce qui est encore visible
Il était une tradition, dans les familles de riches, de faire tous les deux ans un portrait familial. Celui-ci datait de l'année dernière. Nous sommes tous là, réunis, droits, fiers, souriants, apparement heureux. Naturellement, le peintre était formé pour enlever toute trace de malheur sur le visage de ses sujets. Je dois avouer que celui que mon père a embauché était très doué. Mon père est au centre. Il tient par les épaules ses deux fils, l'un de chaque côté. Ma mère et moi sommes assises devant eux. Le regard plein de dégoût, je jette le tableau aux pieds de mon cadet.
C'est ça que tu recherches ?, je lui heure au bord des larmes. C'est ça que tu veux retrouver en venant ici ? Je m'avance vers lui. Ils ne reviendront pas, tu le sais très bien ! Je le regarde dans les yeux, chose qui, je le sais, les répugne, et est considéré comme outrance à la genre masculine. Néanmoins je le cligne pas, je le fixe, le regard humide. Il fait une tête de plus que moi, mais je ne le crois pas capable de ma frapper. S'il veut de faire du mal, il sait très bien qu'il y a un autre moyen, et exèle dans la matière.

Les mains du garçon tremblait presque, un mélange de fureur et de larme. il aurait bien aimé giffler sa soeur, qui était pourtant son ainée, mais c'était une fille et bien qu'il la detestait c'était néanmoins sa soeur. Il aurait aimé détruire tout ce qui se trouvait près de lui, tout envoyer au loin, tout voir disparaître. Il ne se sentait pas bien, une terrible nosée sempara de lui, il transpirait presque trop rageur. Il ouvrait et fermait ses mains qui tremblaient fortement. Le garçon ne suportait plus de se faire dicter sa conduite, ne plus voir sa soeur, ne plus souffrir de son passé achevé, marquer par cette terrible catastrophe. Delwin essaya de shooter dans une grosse brique de pierre, mais ne réussi qu'à se faire atrocement mal à l'orteil et de devoir se contenir d'hurler des jurons sanglants. Il réussi de justesse à se retenir et s'affala sur un tas de brique ignorant carément sa soeur. Il pensait tout simplement, à ce qu'il allait devenir. Lui, parce que Melëa pourait aussi bien se marier avec un riche, mais lui c'était différent. Il avait perdu tout ses biens et son argent. Il était même assis sur le reste de sa maison autrefois reseplendissante de beauté et rendant jaloux les voisins. Mais l'époque ou il vivait dans cette villa avait disparu, une énorme tranchée marquait cette période heureuse à ce jour. L'époque ou il jouait toujours avec son frère et sa soeur, n'existait plus depuis longtemps, balayé par son père. Delwin ne croyait même pas qu'il ait un jours pû serrer sa soeur dans ses bras et repugner de l'avoir fait en tout.

Après uncourt moment de silence ou le garçon réfléchit, pensa, il redressa la tête regardant droit dans les yeux sa soeur, toujours de ce même ton glacial et méchant qu'il n'utilisait qu'envers sa soeur, cachant bien ses larmes, ses tremblemants arrêtés. De nouveau debout, en face de Melëa:
"Je vis ma vie, seul moi choisis mes actions et ça ne changera jamais. Si sça t'amuses de me faire la leçon et bien moi non. Je ne veux plus te voir, je ne veux plus que tu me fasses la morale, je ne veux plus que tu choisisses pour moi se qui est bon ou non ! Est-ce clair ?"
Delwin laissait échapper toute sa rage sur sa soeur, comme il l'avait souvent fait et qu'il ferait sans doute longtemps. C'était peut-être une marque d'affection ?

Tout perdu... - Post 4
[x. Désolée du retard... Peu d'inspi, en moment... ^^ .x]
Four Hundred and Eighty Words

Statut : Prophète

Là c'en est trop. J'ouvre la bouche, mais ne sais pas quoi dire. J'ai trop de choses à dire, en réalité, mais j'en suis incapable. Je ne veux plus te voir. Cette fois les larmes coulent. S'il savait à quel point j'avais mal. Je n'ai jamais été forte, mais j'ai toujours gardé pied devant lui. Je ne voulait pas le décevoir, lui, mon cadet, qui a pourtant une si terrible image de moi. Dès le lendemain, j'ai tout fait pour prendre les choses en main et tenter de nous reconstruire avec le peu qu'il nous restait. J'ai fait de mon mieux pour tenir bon, pour qu'il ne se sente pas seul. Pourtant, c'est ce qu'il souhaite, rester seul.
Avec un dernier regard, je fais demi tour. Tout à été dit, visiblement je ne vois pas pourquoi je devrais rester. Les larmes me coulent le long des joues, très vite balayées par le vent. Je sais qu'il fait froid, que l’air est glacial, pourtant, j’ai chaud, et je transpire. Je marche dans le sable. Mes cheveux noirs volent devant mes yeux. Je les repousse d'un geste rageur de la main. Je suis bouleversée. Mes pensées se mélangent dans la tête sans que je ne puisse rien y faire. D'un côté j'ai envie de retourner en arrière, de l'autre je sais très bien que si j'y vais, il me remballera comme il vient de le faire.
Pourtant, j'y retourne. D'une cadence plus rapide que tout à l'heure, le l'approche, le fixant, mon visage ravagé de larmes au regard colérique. J'arrive à son niveau. Sans que j'y pense, ma main vient frapper sa joue. Je n'ai rien contrôlé. J'enchaine. Que crois-tu ? Que j'ai voulu ce qu'il s'est passé ? Que je l'ai demandé ? Je n'ai pas eût le choix, tout ça m'est arrivé comme une fatalité, comme mon mariage, comme même ma naissance, qui est arrivée avant la tienne. Il n'y a pas de responsable, seulement j'ai des devoirs maintenant, je suis l'ainée, il y a des responsabilités dans ce rôle, contraîrement à ce que tu veux bien croire. Je n'ai pas l'intention de te laisser à l'abandon, malgré tout le mal que tu penses de moi... Tu es le seul qu'il me reste.
Je m'interromps là, étonnée de ce que je viens de dire. Je n'ai pas l'habitude de dévoiler mes sentiments ainsi, et encore moins lorsqu'il sagit d'affection envers quelqu'un. Ma dernière phrase est sortie d'un ton beaucoup plus tout que tout ce qui l'a précédée. Je ferme les yeux, quelques secondes. Je me rends compte à quel point ça fait du bien, de vider son sac. Nouvelle bourasque de vent. Je tremble. J'ai froid, et j'avoue avoir un peu peur de sa réaction, après ce que je lui ai dit et la manière dont je l'ai sorti. Je continue néanmoins de le regarder, sans rien laisser paraître, impassible.

Delwin se mordit les lèvres en voyant sa soeur pleurer. Il ne suportait pas que sa soeur lui dicte sa conduite, qu'elle est toujours un oeil sur lui et passe son temps à essayer de le protéger. Il était peut-être la dernière personne qui lui restait, mais est-ce une raison pour l'empêcher de vivre en paix? Peut-être est-il allait un peu trop fort, mais il n'y pouvait rien et ne voulaitcertainement par restait calmement assis en train d'écouter Melëa lui expliquait comment marcher la vie et qu'il fallait toujours se méfier, de toute façon il le savait déjà! On lui avait enlever sa famille, oui, cette chose. La Chose lui avait enlever sa famille et il voulait fare regretter à cette abomination la mort de ses parents. Mais c'était quelque chose que le garçon voulait faire seul et sans l'aide de sa soeur. Trop encombrante à son goût et encore plus genant, c'était une femme. Les femmes n'étaient pas faites pour chasser, pour combattre, pour partir à l'aventure, n'y tout autre chose qui est un travail d'homme son travail. Le boulot des femmes étaient d'écouter les hommes, de s'occuper de la maisons et des enfants. Sa soeur avait refuser de se marier, elle se prenait à la mémoire de son père qui pendant toute sa vie avait voulu faire regner cette ordre où les femmes étaient des êtres inférieures. Delwin, au début, quand il avait l'âge de 8 ans, refuser catégoriquement de se vouer à sa. Après tout, il ne comprenait pas, aimait trop sa soeur pour sa. Mais son père avait réussi à le convaincre, depuis il détestait sa soeur car elle refusait de se marier avec un homme riche et d'écouter son père. Car de toute façon, elle n'était rien d'autre qu'un femme.

Delwin regarda sa soeur s'éloigner, essayant de cacher ses larmes, il se mordait tellement la lèvres qu'il était presque arriver au sang.Bien qu'elle soit trop protectrice, c'était quand même sa soeur! Il hésista un instant d'aller la voire et de se faire pardonner. Mais à quoi bon? Pour qu'elle recommence à faire déborder sa vie dans la sienne? De toute façon, il n'eu pas le temps de se poser la question une nouvelle fois qu'elle s'aprochait semblant plus derteminer que jamais. Elle leva sa main et Delwin sentit quelque chose lui jifflait la joue. Il eu le reflexe d'intersepter sa mains, mais déjà elle commençait à parler.

Le garçon était la seul personne qui lui restait, mais se n'était tout de même pas une raison pour passer son temps à le protéger! En tout cas, c'est se qu'il pensait alors qu'il avait la joue rougit, le visage en fureur, les yeux lançant des éclairs. Le poignée de sa soeur entre ses mains. Il jettait des éclairs à sa soeur. Poussant son poignée en même temps que le reste de son corp, pour enfin lui tourné le dos et s'éloigner. Toujours réflechissant, mort de honte à l'idée d'avoir était giflée par sa propre soeur : par une fille.

Il se redressa, dos à sa soeur et à quelques mètres d'elle. Il tourna légerement la tête avant de lancer sans pour autant la regarder dans les yeux.
"Mère aurait peut-être était fière de toi, ainsi que notre frère. Défendre ainsi tes idée. Mais Père, lui non. Tu n'as pas respecter se qu'il désirait plus que tout au monde. Et pour sa, je t'en voudrait sans doute..."
Puis il se retourna, les larmes aux yeux qui brillait dans le froid pourtant glacial.
"Il ne nous restes rien! Je veux détruire La Chose! Et... je ne veux plus que tu me dictes ma conduite! C'est ma vie et pas la tienne. J'espère que tu l'as compris car je ne le dirait pas deux fois! Mais, je tacherais quand même à que personne ne t'épouse si se n'est pas fidèlement ."

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