Petite Ballade | Libre |

Delwin, car c'était le nom de jeune homme venait de poser ses pieds nus sur le sable humidfié, à cause de la mer et de la pluie légere qui tombait un peu partout sur l'île, humidifiant tout sur son passage. Le garçon, possèdait, en se moment même le regard vide et lunatique de quelque en pleine pensée, mais il fallait bien l'avouer il avait beaucoup de raison d'être dans la lune.

Delwin, culbuta sur un gros rocher et s'écrasa sur le sol avec violence. Absorbé dans ses pensées et les yeux mi clo, le garçon n'avait pas vu la roche rectangulaire. Il avait du sable dans la bouche, qu'il s'empressa de rechracher, un gout désagréable désormais dans la bouche. Avec agilité, il se releva et essaya d'enlever un maximum de sable qui ne désirait pourtant pas partir, au plus grand malheure de jeune homme. Il poussa un léger soupire et se résigna à rester ainsi.

Delwin alla s'assoir sur un rocher, posant son menton sur son main, elle même déposer sur son genou. Le regard vague en direction de la mer. Son père lui manquait atrocement et sa mort avait causer des doutes en lui, qu'il l'énerver. Depuis son 8ème anniversaire, il n'avait pas resentit se doute sur se sujet. Il ferma les yeux puis les ouvra avant de se resdresser.

Étendue sur un cyclone minuscule qui tourbillonnait en écume douteuse, une jeune femme, les yeux fermés sur des yeux endormis, les cehveux volants dans les airs, en tout sens, comme dirigé par l'esprit du vent, les vêtement intacts, enfin, ce qui en restait, se laissait ballotter tel un sac de pommes de terre fraîchement achetées au marché. Elle était incosciente, et n'importe qui aurait pu remarquer son cas étrange. Bientôt, le cyclone se heurta sur le sable doré et chaud et disparu, laissant son colli échoué sur la plage. Bien vite, elle reprit vie, sa poitrine se soulevant imperceptiblement au fur et à mesure que ses pauvres poumons se remplissaient d'air nouveau et frais. Cette grande inspiration sembla durer quelques minutes, puis elle expira et sa respiration redevint normale. Elle laissa le temps à son corps de se réadapter à la vie agitée qu'elle fuyait depuis longtemps, puis, seulement après une dizaine de minutes, elle daigna ouvrir les yeux pour regarder le monde qui l'entourait à présent. Son iris, gris et ivoire, possédait uen couleur surnaturelle, bien que ce soit un bijoux de la magie, mais elle daignait à le montrer franchement, c'est à dire à regarder quelqu'un en face. Elle se leva doucement et balaya la plage d'un regard... suspicieux. Une plage. un ou deux rocher... et un jeune homme. Vite, elle baissa le regard et marcha, comme si elle ne l'avait pas vu. Elle se dirigea, sans le vouloir vraiment, vers le jeune homme même, replongeant doucement dans son monde étrange, ou le vent et la pluie battait en tout temps.

Delwin, désormais debout, les pieds enfoncer dans le sable humide et froid, vit aparaitre le corp d'une jeune femme. Elle semblait inerte, ses vêtement déchiré, son corp totalement mouillé. Le garçon, ne savait pas trop si il devait allait la voir ou pas, elle respirait avec peine et lui restait pétrifier, ne réussisant pas à quitter des yeux les femmes. Elle devait sans doute être une nouvelle arivante, de nombreuse rumeurs tournaient autours d'eux, se qui ne facilitait pas la réaction de jeune homme. Mais, à son grand soulagement elle finit pas se relever mais semblait l'ignorer, regardant le sol et pourtant se dirigant vers lui.

Le garçon regardait la jeune femme se dirigait vers lui, pourtant elel semblait trouver faxinant de regarder le sol. Delwin hésita quelques instant avant de se décider, il s'avança vers elle, lui saisit la main pour y désposer un bref baiser avant de déclarer à l'inconnu:
"Mademoiselle, c'est un honneur"
Pourtant, il regardait avec une certaine pitié les vêtements lacérés et trempés de la jeune femme. Mais qui pourtant, malgrès sa dégagé beaucoup de grace et beauté.

Marchant tranquillement, Emerya, plongeant de plus en plus profond dans son monde imaginaire, entendit une voix, qui lui semblait familière mais qui ne suscitait aucune émotions en elle, mumrura à son oreille quelques phrases étrange, qu'elle se rappellait avoir déjà entendue:

Un jour, tu rencontreras l'inconnu. Tu seras seule au monde, mais bien vite du t'habitueras à cette expérience, je le sais. Ta première rencontre arrivera rapidement, et elle t'étonnera. Tu auras envie de gifler, ou plus certainement de t'enfuir sans piper un mot, de t'évaporer sans que l'autre ne réagisse. Mais tu ne le feras pas. Tu regardera cette personne dans les yeux, ce qui t'étonnera toi-même, et tu tenteras de la connaître. Tu passeras du temps avec cette personne, plus que quelques jours, et tu rencontreras d'autres habitants de l'endroit.

Alors que la voix disparaissait, elle crût comprendre que la personne qu'elle rencontrerait ferait exception à son caractère. Étrangement, la seule chopse qu'elle reconnaissait en elle était son nom, Emerya Derigheï, et à la fois son caractère qu'elle ne pouvait perdre. Soudain, quelqu'un lui prit la main, la souleva et déposa un baiser dessus. Une voix de jeune homme prononça une phrase de bienvenue à son égard, et Emerya eut envie de s'enfuir, après lui avoir fait une leçon de politesse. Mais, elle suivit le murmure intelligent, et leva son regard dans les yeux du garçon. Ses yeux de granit et d'ivoire, si beau et mystérieux, que si peu de personnes avaient eu la chance de voir.

La jeune femme semblait presque étrange, semblant être des ses pensées et non sur terre. Elle venait de relever les yeux, les poitant vers Elwin qui faillit faire un bon en arrière mais resta impasible de l'exterieure, ultra surpris de l'intérieur. Il est avait eu le souffle presque coupé d'aperçevoire ses yeux d'une couleur si extraordinaire, un mélange d'ivoire et de granit, il commençait à comprendre pourquoi elle les avaient cacher! Mais, sa n'expliquer toujours pas cette couleur si magnifique et mystérieux, qu'il en resta stupéfait et ébahit, bien qu'il le chacha au maximum.

L'air était calme, aucune vague ne se formait sur la mer. Et pour cause, car pas un souffle de vent ne daignait pointer ne serait-ce que le bout de son nez. Cependant, Emerya, toujours en partie ailleurs, comme au plus profond de la terre même, vivait dans une tempête interminable. Pour elle, une bourrasque constante faisait voler ses cheveux, et la pluie battait la plupart du temps à ses oreilles, coulant le long de sa peau en grande partie découverte. Si les gouttes d'eau violentes tardaient à venir, les flammes, la lave et la foudre se déchaînaient, profitant de ce rare moment libre pour batiffoler dans la vie de la jeune femme.

Emerya gardait son regard imbriqué dans celui, expressif, du jeune homme. Simplement en regardant convenablement ses yeux, elle pouvait aisément deviner son malaise, sa surprise, mais aussi comprendre qu'il admirait ses yeux. Elle ne bougea pendant un temps qui aurait pu sembler plusieurs minutes pour une autre personne, mais pour elle, ce n'était que quelques secondes de réflexion, car le temps n'existe pas dans les tornades. Finalement, elle cilla, ses longs cils se rabaissants au rythme de ses paupières qui se fermaient sur ses yeux, pour aussitôt remonter. Elle esquissa une légère ébauche de sourire, et, ensuite, elle ouvrit la bouche et prononça des paroles claires, chose tout aussi rare chez elle, puisqu'elle préférait éviter d'utiliser la parole pour s'exprimer. Elle préférait user de sa voix pour chanter son éclat oublier, dans sa solitude profonde et certaine. Ses paroles jaillirent : «-Enchantée de vous rencontrer.» Sa voix, qui formait une mélodie envoûtante, sonnait très bien. Une voix claire et douce. Après avoir marqué une pause, elle agrandit légèrement son sourire, mais à peine, pour ajouter, ravissante malgré ses vêtements trempés et en lambeaux: «-Je me nomme Emerya Derigheï. À qui ais-je l'honneur?»

Elwin cligna doucement des yeux, toujours surpris par les yeux de la jeune femme, qui était vraiment magnifque et peu commun. Il admirait doucement ses yeux seplendide depuis déjà quelques minutes quand une voix mélodieuse, agréable sortit des lèvres de la jeune femme qui se disait Emerya Derigheï, Elwin de toute façon ne doutait pas un seul instent que ce n'était pas son vrai nom, sa voix si mélodieuse l'enpêcher de penser qu'elle mentait et de toute façon pourquoi l'aurait-elle fait? La garçon restait toujours bouche bée devant les manières, les yeux, la voix de la jeune femme, j'amais il n'avait vu quelqu'un comme elle. Il réussi tout de même à répondre d'une voix noble et digne:
- Eldiñn Elwin pour vous servir mademoiselle -
Il baissa légerement la tête en signe de salut, réussisant enfin à lacher son regard des yeux de la jeune femme.

Eh on va pas draguer la belle et jeune demoiselle alors qu'elle vient d'attérir sur la plage, totalement déboussolée et sans repères Petite Ballade | Libre | 565589

Ok je sors. Petite Ballade | Libre | 297662

*Sort*

C'est un garçon quoi! XD Petite Ballade | Libre | 297662

[Bah pourquoi pas? Et puis qu'est-ce qui te fais dire qu'Emerya va embarquer? Avec ce caractère...]

Levant son bras pour placer une mèche de cheveux mouillée derrière son oreille, Emerya regarda plus attentivement le fameux Eldiñn Elwin. Un beau corps, visage ébahi, cheveux châtains, yeux bruns. Plutôt beau garçon, mais il ne semblait pas dans son état complètement normal, dans son élément naturel. Puis elle détacha son regard aimanté du garçon et regarda derrière lui. Une montagne se dresait, visiblement beaucoup plus loin, et dessus, une sorte de tour se dressait, noire, étrange. Elle aspirait à la peur et l'inquiétude, mais, au contraire, Emerya se sentait comme attirée par ce bâtiment. Elle plissa les yeux, fronça les sourcils et, comme dans un sentiment de déjà vu, elle vit un scintillement d'un rayon de soleil disparaître dans l'ombre qui entourait la tour. Revenant vers Eldiñn Elwin, après quelques secondes à peine de contemplation du bâtiment, elle sourit à nouveau, ses lèvres se soulevant plus que nécessaire.

Elle porta sa main à sa poitrine, et ferma un instant les yeux. En une sorte de prière invisible, elle fit venir quelques âmes dans son monde pour savoir comment réagir. Rouvrant les yeux avec une réponse à l'intérieur, elle avança de deux pas vers le jeune homme, et répondit d'un ton solennel: «Joli nom, mon cher.»Quelques secondes s'écoulèrent, avant qu'elle ne poursuivent, prononçant les mots qu'on lui avait transmises: «Où suis-je, je vous prie?»

[Ouais en plus ! Petite Ballade | Libre | 297662

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Sur le visage du garçon, toute trace d'ébahissement avait disparu bien qu'intérieurement, il se posait toujours mille et une question sur cette jeune femme si étrange qui semblait d'ailleur, presque aimanter par le volcan qui inspirait la crainte et la souffrance sur cette île. Mais peu importe, il avait pleins de questions et aurait bien voulu qu'il trouve les réponses mais n'osait pas paraitre trop grossier ou curieux vis à vis de la jeune femme qui semblait totalement perdu. Comme si elle avait perdu la mémoire... mais après tout, on racontait que les humains qui arrivait sur cette île perdait totalement la mémoire, maintenant, Delwin qui avait eu des doutes de se côter la, devina l'ébaïssement de Emerya. Il s'occupa dès lors de répondre à la question de la demoiselle, y laissant une petite pointe d'humour dérisoiar et presque stupide.
"Sur une île on dirait"
Avait-il dit, fesant mine de regarder la mer puis la cote, la main au-dessus des yeux.C'était plutôt étrange pour Delwin de ne plus penser à sa famille, à ses biens en ruine détruit envoler, disparue à tout jamais. Cela fesait d'ailleur plusieurs nuits qu'il ne trouvait pas le sommeil ou alors se réveillait en sursaut, le corp empli de sueur, une atroce nausée. Il secoua vievemnt la tête pour s'enlever ses idées noir, tournant son regard vers celui d'Emerya.

Emerya se retourna un instant pour regarder l'eau qui s'échouait lourdement sur le sable qui formait la plage. De la vapeur s'échappait étrangement de ces petites vaguelettes écumantes. Ne cessant de creuser dans ses souvenirs, Emerya ne parvenait cependant toujours pas à trouver d'où elle venait, et dans quel contexte, quel avait été son passé et toutes les autres choses qu'habituellement une personne connaît. Un sourire étrange apparut sur ses lèvres, ce qui signifiait, autrefois, qu'elle ne voualit pas penser à quelque chose en cet instant, qu'elle le ferait plus tard, chose qu'elle faisait rarement. Remettre à plus tard.

La jeune femme replongea dans les regard de son interlocuteur, et devina qu'il n'était plus tout à fait surpris, et se concentrait davantage à son comportement habituel. Cependant, Emerya comprit aussi, en voyant son image se refléter dans ses yeux, que le jeune homme la croyait sans défense et ébahie. Chose totalement irréaliste lorsque l'on connaissait quelque peu cette fille. Enfin, ce n'était pas sa faute. Il venait de la rencontrer, et ils n'avaient qu'échangé quelques mots à peine. Mais pour Emerya, c'était suffisant pour qu'elle puisse se désinterrésser de quelqu'un.

En entendant la réponse idiote du garçon, Emerya fronça légèrement les sourcils. Elle n'aimait pas les blagues sans but, enfin, seulement quand cette blague était destinée à elle-même. Son regard et ses traits se durcirent après s'être brusquement détendus. C'était ce qui arrivait lorsqu'elle n'appréçiait pas quelque chose. Elle n'eût pas besoin de se ménager grandement pour répondre du tac au tac, coupant presque la parole au pauvre jeune homme qui ne comprendrait certainement pas le vif changement de la jeune femme,qui était flagrant: «-Je n'ai pas besoin de vous pour le constater, je suis aussi instruite que vous pour ce qui est de ce point. Non. Je veux savoir sur quelle île je suis située, est-ce bien compris cette fois? Oh, et, soit dit en passant, je n'apprécie pas franchement cette blague insensée plus que stupide. Vous n'êtes pas spécialement visé, mais je tiens à le préciser. Alors maintenant que vous être infromé sur ce détail, comportez-vous comme tel sinon je devrai aller me renseigner auprès d'un autre personne, quelconque, ainsi, renseignez-moi maintenant sur ce que je veux savoir, je vous en prie. Et n'oubliez pas de me pardonner pour cette réactionde ma part qui vous déplaît peut-être, mais enfin, je ne suis pas une écrevisse perdue dans un aquarium.»Emerya finit tranquillement son texte qui était sorti seul e sa bouche, sans effort, sans qu'elle n'aît eu à réfléchir plus d'une fois, comme elle faisait habituellement, et qui prenait aux alentours d'une quinzaine de secondes. Elle s'était presque auto-destabilisée, alors elle ne pouvait imaginer pour le garçon... Ce n'était pas une bonne image d'elle-même qu'elle projetait là, mais elle avait réagi ainsi. Peut-être était-ce son caractère d'antan qui ressemblait à cela.

Delwin ne semblait pas avoir du tout apréçier la réaction d'Emerya. Il fronça légerement les sourciles. Il ne suportait qu'on lui réponde de cette manière, encore moin par une femme. Qu'elle se débrouille seule si tel était son désire car il ne comtait pas devenir son esclace soumis à ses ordres et devant écouter ses paroles sans bronché. En tout, cas c'est ceux que pensée le jeune garçon. Il eregarda droit dans les yeux la jeune femme, les poigs serrés, le visage ferme aucune trace de stupéfaction ne brillait dans ses yeux, on aurait plutôt califier cette lumière : détermination. Donc, il répondit d'une voix sèche et froide:
"Si madame ne désire plus suporter mes mauvaises plaisanterie, soite. Allez donc demander à quelqu'un d'autre, je vous empris. Tombez sur La Chose, se sera votre problème et non le mien!"
Sur ceux, il tourna les talons et fit mine de s'en aller, guettant la réaction de la jeune femme, pourtant regardant droit devant lui. On pourait croire que c'était un garçon, qui ne se fachait pas et ne se prennait jamais au sérieux mais loin de la. Certes il aimait rire et blaguer, mais pouvait aussi bien s'arrêter et réprendre tout son sérieux sans broncher.

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